
Le voici à l’automne dernier dans sa splendeur.
Hélas, il était malade. Je ne l’ai appris que ce matin quand j’ai vu les hommes à l’œuvre en face de chez moi. Le bruit des camions et de la scie a attiré mon regard. Il fait moins quatorze degrés dehors et je vois un homme debout sur la plate-forme du camion, scie à la main, en action en train d’élaguer mon arbre. Étonnée d’abord qu’en début février par ce froid, la ville procède à l’élagage de ses arbres, je reste figée devant leur action. Ho!...
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