Inspirante nature
Inspirante nature
Toujours à la recherche d’une idée inspirante pour mon prochain article, je suis toujours surprise de voir combien la nature m’inspire. Cette semaine la revue * Espace pour la vie* publication d’été du jardin botanique m’est tombé entre les mains et m’a captivée par sa simplicité et ses vérités. Je vous partage donc quelques articles.
Essentielle nature
Nous le savons. Nous le sentons. Nous avons besoin de nature. Tout notre être nous y pousse. Pourquoi ? Qu’est-ce qui nous attire tant vers elle? Nous en avons besoin pour respirer. Nous avons besoin de l’air, du vent, de l’odeur de la verdure, des fleurs, de la fraicheur des sous-bois, ou du grand vent du large, et même de la pluie bienfaisante ainsi que de notre beau soleil.
Le bien être est dans les feuilles
Où dans les aiguilles pour ceux qui préfèrent les conifères. Ces géants du règne végétal nous apportent des bienfaits psychologiques quantifiables. C’est pour se le rappeler que le jardin botanique a créé le parcours d’interprétation de l’arboretum, un sentier forestier instructif qui traverse les collections d’arbres et qui nous remémore à quel point ils sont fascinants en plus d’être nos fidèles alliés.
-Ce sont d’abord des capteurs de gaz carbonique et des émetteurs d’oxygène, rappelle Andrée Hallé, responsable des programmes publics au jardin botanique. Sans les plantes, les arbres et quelques bactéries, il n’y aurait tout simplement pas d’oxygène sur Terre. – Ce sont aussi des régulateurs de températures. Ils rafraichissent les rues en été et diminuent l’effet des vents froids en hiver. Elle cite un proverbe chinois : Le meilleur moment pour planter un arbre c’était il y a vingt ans, le deuxième moment, c’est maintenant ! – Un seul arbre fait pencher la balance. Juste en quantité de gaz carbonique capté, d’oxygène émis et d’eau rejetée dans l’atmosphère, les avantages sont indéniables.
En prime : il est démontré qu’avoir des arbres sur sa propriété rehausse sa valeur immobilière.
Les plantes dans la pharmacie
De tout temps les hommes se sont tournés vers les plantes pour se nourrir, se vêtir, mais aussi se soigner. Les Premières Nations ne sont pas en reste et le botaniste chercheur au Jardin botanique, Alain Cuerrier, travaille avec elles pour s’assurer que ce savoir ne se disperse pas.
En effet ce bagage est menacé au passage de chaque génération. * Comme ces connaissances étaient attachées à un système spirituel plus large, les missionnaires ont eu tôt fait de les balayer du revers de la main. Et, par la suite, la science, qui s’est souvent présentée comme seule porte d’accès au savoir, n’y a pas accordé le crédit qu’elles méritaient. *
Pourtant, pour Alain Cuerrier, il ne fait pas de doute que les végétaux ont leur place dans l’éventail de nos soins. * Chez les Cris, on a trouvé des plantes qui aidaient à traiter les symptômes du diabète, explique-t-il. Et de récentes études ont montré que l’armoise annuelle, utilisée par les Chinois contre la fièvre, était efficace pour combattre la malaria. *
Si les plantes peuvent guérir, il ne faut pas non plus s’attendre à des miracles. * il faut patienter quelques jours, voire quelques semaines, pour que les effets se mettent en place. *
Voir la nature autrement
Pour Les Premières Nations la nature est symbolisée par la Terre-Mère : Nous sommes ses enfants et nous devons lui rendre grâce et la protéger.
Voilà un aperçu de la revue * Vive la Vie* (du jardin botanique)
La nature qui nourrit. La nature qui inspire. La nature qui fait du bien.
En cette année de célébration, Espace pour la vie, fête la nature.
Pour en savoir plus voici le lien de la revue. Pour ouvrir : faire ctrl et clic.
https://issuu.com/espacepourlavie/docs/2016-11_epv_brochprogr2017_fr_f-num/4
Bonne lecture
Blandine Meil